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 L'avenir c'était mieux avant - Adolf

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MessageSujet: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptySam 16 Aoû - 9:33


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Adolf Tobias Hellström
❝ ft. dane dehaan ❞


ϟ PERSONAL ID ϟ
Nom : Hellström ✞ Prénom(s) : Adolf, oui comme Hitler, c'est une longue histoire. Tobias juste comme ça, aucune idée d'où ça sort. ✞ Date de naissance & âge : 13 Janvier 1982, 29 ans. ✞ Lieu de naissance & nationalité : Stockholm, Suède, logiquement Suédois, avec des origines allemandes. ✞ Arrivée en ville : En décembre 2004, il y a un peu moins de sept ans en somme . ✞ Occupation : Adolf était professeur en criminologie à l'université de Stockholm, pour des raisons obscures il a quitté son poste avant la rentrée de 2004, cela serait soit disant pour se consacré à sa carrière de chercheur. ✞ Orientation Sexuelle : Il n'y a jamais trop réfléchi, c'est une question qui le rend nerveux, il est toujours puceau il faut dire, oui vous avez bien lu, pas de quoi en faire tout un plat, personne ne le sait de toute façon. ✞ Situation matrimoniale : La question précédente devrait répondre à celle là, il est bien sûr célibataire, une part de lui cherche le grand amour, l'autre part plus rationnel désespère juste de trouver une âme qui ne lui fasse pas horreur.  ✞ Groupe : Landat





ϟ DEATH IS IN THE AIR ϟ
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✞ Votre rêve : Je ne vois pas pourquoi je l'aurais fait. Les légendes urbaines disent qu'il faut avoir habité sept ans dans cette ville pour le faire, ce n'est pas encore le cas, mais ça va venir, bientôt, je n'ai pas peur, c'est ridicule, je n'y crois pas, j'entends bien prouver que tout ceci n'est qu'une vague farce. Je dois tout de même avouer que cette légende est mystérieuse, voilà bientôt sept ans que je suis arrivé ici et je dois avouer que je n'ai encore rien réussit à prouver. Il y a pourtant un truc, quelque chose qui provoque ça, quelqu'un qui tue. Il existe toute sorte de psychopathe, et certain peuvent être brillant sans commune mesure, et particulièrement maniaque dans leur mort. Placer une ville dans la terreur et l'attente de leur mort peut être une source inépuisable de jouissance pour le psychopathe. Et celui à qui nous avons à faire ici est doué, extrêmement doué. Je suis au courant depuis le début, je dois vous avouer maintenant que je ne sais plus bien comment j'ai été mis au courant, un fait divers minable dans un journal quelconque surement, j'épluche ses journaux là généralement, on y trouve toujours des choses intéressantes. Quoiqu'il en soit l'information est arrivé à un point essentiel de ma carrière, j'avais besoin de m'éloigner de la capital, c'était la bonne excuse. Je pourrais continuer pendant des heures. J'ai déjà des centaines de pages écrite pour ma thèse sur cette ville, sur la force de l'imagination et des croyances païennes, mais peut être que ça ne vous intéresserait pas tout à fait. Oh non, suis-je bête, Göran, forcément, et peut être tout de même les faits divers dans les journaux, pour vérifier qu'il ne me racontait pas des cracks pour se changer les idées.

✞ Dödskalle : La ville est charmante, parfaite même. Bien sûr ce n'est pas Stockholm, mais au final, la grande ville, l'agitation et les histoires ça commencent à devenir agaçant. Ici au moins les histoires sont toujours les mêmes, un matin comme ça pour nous réveiller de notre torpeur un habitant hurle le rêve qu'il a fait, plus ou moins discrètement, en pleurant, ou autre. Et puis il y a les résignés, ceux qui sont presque là pour mourir. C'est drôle à voir, c'est reposant aussi. La ville est calme. C'est délicieux de s'y promener à l'aube lorsque la ville est encore embrumé, elle révèle particulièrement son caractère macabre. Je suis venu pour ça, pour lire la ville, pour la comprendre, pour m'y reposer, pour m'y changer les idées, pour y vivre. Honnêtement je ne comptes pas repartir avant d'avoir percer se mystère et fait arrêté ce fou furieux. Allez, sérieusement, vous ne pensez tout de même pas que c'est une superstition qui cause tout ça ? As you wish. Je reviendrais à Stockholm lorsque ma thèse sera finit.

✞ Traits de caractère : L'évident, Adolf est quelqu'un d'obsessionnel, c'est un homme brillant qui ne croit qu'en un ramassis de chose bien précises. Il ne lâchera jamais la grappe. Méticuleux et précis, il opère de manière généralement répétitive. Honnêtement il ne serait pas du bon côté de la barrière, il serait probablement qualifié de psychopathe. Il paraît que c'est souvent le cas des criminologues. Il a passé tellement de temps à étudier les divers psychopathes, assassins, terroristes, violeurs, et tueurs en série en tout genre qu'il peut imiter à la perfection certaines de leur manies et se glisse dans leur peau et dans leur esprit en un clin d'oeil. Du temps de sa carrière à Stockholm il était souvent appelé par la police pour réaliser des profils. Il n'a néanmoins jamais voulu travailler dans la police, c'est un homme de papier et de science, un chercheur. Il a l'air rigide, et parfois un peu fou, il est plein de toc. Il a par exemple souvent son oeil droit qui se barre sur la gauche, comme pour vérifier ses arrières. Il est pourtant quelqu'un de serein qui aime se vanter n'avoir peur de rien et pouvoir tout expliquer. Homme religieux, le seul vide rationnel de sa vie réside en Dieu, dans lequel il met toute sa foi. Entre science et religion il pense qu'il peut tout réaliser. Il sait être à l'écoute, et il est généralement assez intuitif. Enfin quand à ses capacités relationnelles... On dira pour être aimable, ça passe, ou sa casse. Il peut être le meilleur ami du monde, celui dont vous avez toujours rêvé, mais il faut pouvoir le supporter. Et ce n'est pas une mince affaire. Il est nul avec les femmes, et est très mal à l'aise lorsqu'on lui parle de sexualité, il est à ce moment capable de sortir tout un tas de statistique et d'information que personne ne veut savoir. La part croyante de lui, penses qu'il faut attendre la bonne personne. La part scientifique n'attend plus grand chose, et essaye de créer des profils de la femme idéale. Il ne la trouvera surement jamais. A moins que.





ϟ MEET THE PLAYER ϟ
Pseudo : Twisted Sunshine —  Âge : 21 ans — Code du règlement : OK by Noah. — Déjà un compte dans le coin ? : Nope. — Où avez-vous connu le forum ? : à cause de deux terreurs. — Un commentaire ? :  angel .



© Crédits : coccy, Moose, eden, JEKYLL&HYDE.

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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptySam 16 Aoû - 9:34


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life is just a game
❝ we're gonna make history ❞


L'ENFER, C'EST L'AUTRE.

La mère d'Adolf était allemande. La mère d'Adolf était très belle. La mère d'Adolf était vieille aussi, lorsqu'elle l'avait eu. Lui, son fils unique. La mère d'Adolf était née à Paris, en 1942. L'histoire de la mère d'Adolf, ne vous intéresse surement pas, mais elle est importante. Siobhan, il ne fallait pas chercher plus loin, à son nom on le savait, la mère d'Adolf était juive. Ses parents était née à Berlin dans les année 1910. Ils avaient perdus leurs pères durant la première guerre mondiale, de simple fantassin, ils avaient peu de moyen. Ils avaient eu deux enfants en Allemagne, à Berlin, et lors de l'arrivé d'Hitler en 1933, ils avaient fuit. Ils avaient eu le bon sens de partir, ils n'aimaient pas ce type. Ils étaient allé à Paris, les vainqueurs de la première guerre mondiale, ils n'avaient jamais imaginé. Ils n'avaient jamais pensé qu'on puisse en arrivé jusque là. Coincé à Paris ils s'étaient caché, on ne les avait jamais trouvé, jusqu'en 1942, jusqu'à la naissance de Siobhan. Elle était un accident, un heureux accident, un accident qui avait causé leur perte. Elle pleurait, c'était un bébé. Les allemands les avaient trouvé, une voisine avait réussit à faire s'enfuir le fils ainé et Siobhan, les parents et la cadette avait été emmené, on avait plus jamais eu de nouvelle. Isaac et Siobhan avaient été envoyé en Angleterre, et on leur avait trouvé une famille d'accueil plus au Nord, en Suède, là bas il serait sauf. Ils avaient échappé à la guerre comme ça, après avoir tout perdu. Dès qu'Isaac avait été en âge, il était parti pour Israël, avec la ferme intention de rejoindre le Mossad. Siobhan n'était pas comme lui, Siobhan était douce et joyeuse, peut être parce qu'elle avait été trop jeune pour comprendre, et que de la guerre elle n'avait aucun souvenir. Mais Isaac lui avait raconté, une fois, deux fois, dix fois, cent fois. Elle savait. Mais elle acceptait. Elle avait rencontré le père d'Adolf assez tard, elle devait avoir trente ans. On l'avait cru stérile. On disait que ça arrivait souvent aux expatriés. Elle ne se sentait pas apatride, elle était Suédoise, dans ses souvenirs elle l'avait toujours été. Même si elle savait. Mais ils avaient accepté leur sort. Elle avait 41 ans lorsque le miracle était arrivé, lorsqu'elle était tombée enceinte. On avait dit que c'était un coup du sort, une grossesse dangereuse, qui serait leur unique chance. Lorsque le bébé était né, Lars avait proposé un prénom juif, Samuel, le nom du père de Siobhan. Siobhan avait sourit, et avait refusé, son fils s'appellerait Adolf, parce qu'il fallait bien quelqu'un pour redorer le plastron de ce prénom maudit. Hitler n'aurait pas le dernier mot sur un nom aussi beau, avait-elle dit. Parce que Siobhan était comme ça, sans rancoeur et sans haine, avec la beauté et la gentillesse dans le regard. Parce que Siobhan était pure, belle, et martyr. Adolf avait dix ans lorsque sa mère fut assassinée par un néo-nazi. Lars avait été inconsolable, encore aujourd'hui Adolf n'avait plus jamais vu son père heureux. Encore aujourd'hui Adolf n'avait plus jamais entendu son père l'appeler par son prénom. Lars n'avait pas la noblesse d'esprit de Siobhan, et Adolf était devenu Samuel, les rares fois où Lars l'appelait.



EMPIRE STATE OF MIND


L’adolescence fut un long voyage. Sans la présence rassurante de Siobhan, sans un seul sourire de la part de Lars, Adolf s’épanouissait difficilement.

« Hé, Hitler, c’est pas toi qui aurait tué ta maman par hasard ? »

Le fait que l’on est jamais retrouvé le meurtrier de Siobhan et que le seul indice soit une croix nazi tagué sur le corps mort de la victime n’aidait surement pas au rétablissement d’Adolf qui subissait de plus en plus son prénom. Aussi étrange que cela puisse paraître, il trouva dans la religion son seul refuge. Malgré son prénom et sa gueule d’enfant arien blond aux yeux bleus, le fait de s’affirmer juif commençait doucement à faire taire les accusations. On pardonne étrangement plus à un juif de s’appeler Adolf, cela ne fait que souligner la réputation des juifs - ils ont un humour caustique. Adolf grandit ainsi la chipa vissée sur la tête. Il n’en était pas moins un gamin étrange, mais plutôt que de constamment venir l’ennuyer, les gens prirent plutôt l’habitude de ne plus l’approcher. Et pendant un temps, ça suffit. Le silence avait pour Adolf des accents de prière sublime, et il estimait que cela pouvait suffire. Bien sûr, il se trompait, et un gamin de seize ans se raconte toujours ce qui l’arrange pour être heureux. Ou au moins pour en avoir l’illusion.

Ainsi au lycée, le jeune Adolf avait - contrairement à nombre de ses camarades de classe - déjà construit un temple immense dans son esprit. Dans le silence qui l’entourait, il naviguait dans ses sphères neuronales  à la recherche de réponse. On le retrouvait souvent, entre deux cours, le regard perdu dans le vide, la main levée s’agitant dans le vide comme si elle déplaçait des données sur un écran invisible. Pour tout le monde, le gamin était fou. Il fallait dire qu’entre une mère assassinée et un père dépressif il y avait de quoi perdre la tête. Mais même les plus compatissants ne souhaitaient pas tendre la main vers lui. Mais il n’avait besoin de personne, et tandis que tout le monde s’épanouissait faussement à travers leurs relations sociales vides de sens et superficielle - comme elles le sont souvent à cette époque là - Adolf murissait.

Il avait seize ans lorsqu’il passa fièrement le pas de la révolution rationaliste. Et se fut seulement parce que la religion était venue avant tout, en sauveuse, qu’elle put supporter le raz de marée rationnel qui s’abattit sur lui. Lassé de nourrir ses obsessions dans l’empire de son cerveau, il répliqua son temple de complexité dans sa chambre, ouvrant sur son bureau, étalant sur ses murs, tout ce qui lui paraissait absurde, abjecte, et sans réponse. A travers le meurtre de sa mère, la dépression de son père, et le mystère de lui même, l’enfant arien bon à rien à l’homonyme détestable, il chercha à tout rationaliser. Chaque geste trouva sa justification. Chaque pensée, chaque mot chercha à répondre à une hypothèse préalablement posée. Il reposa son esprit entre les mains de la science, trouvant son salut parmi les molécules. Il finit enfin par s’abandonner avec un plaisir coupable dans les sphères nébuleuses de la philosophie et de la psychanalyse. Tout avait son raisonnement.

CREEP ME


En choisissant de continuer ses études dans le domaine de la psychanalyse puis de la criminologie il s’assurait de ne côtoyer que des personnes aussi étranges que lui. Monstre obsessionnel en tout genre, son amphithéâtre de première année avait déjà de délicieux accent de freak show, et les quelques personnes trop normales pour survivre furent vite mise au banc du cursus. Les monstres rationalistes sont particulièrement élitiste. Et soudainement Adolf avait un certain nombre d’avantage. Juif, fils d’une mère assassiné, d’un père dépressif, avec un tempérament obsessionnel, maniaque et compulsif et un homonyme psychopathe, il faisait parti du gratin dès le premier jour de cours. Il s’était vite trouvé un groupe d’ami avec qui il pouvait refaire le monde, et décortiquer les différentes personnalités. Sa chambre était devenue une vaste toile d’araignée, différent fils s’étiraient entre les différentes surfaces de sa chambre créant dans l’espace les connections qu’elles étaient sensées créer. Tout dans la vie d’Adolf devenait compliqué. S’il rationalisait les choses pour les simplifier, ses obsessions compliquaient tout le reste. Rentrer dans sa chambre était en soit une épreuve tant il fallait être agile pour parvenir jusqu’au lit à travers les fils de laine. Les cours lui apprenaient tant sur lui même, qu’il ne voyait plus l’utilité de dormir tant qu’il ne serait pas parvenue à résoudre tous les mystères de sa vie. Celui du meurtre de sa mère étant celui qui l’empêchait réellement de fermer l’oeil. Le souvenir calme et imperturbable de Siobhan l’avait élevée au rang de sainte à adorer. Personne dans son esprit ne pouvait parvenir à égaliser sa mère. Evidement, malgré son nombre d’ami croissant, il restait toujours aussi seul. La foule accentuait même sa solitude. Il était différent, et même entouré des plus grands penseurs de son temps, il se trouvait différent. De la promotion, il était surement l’étudiant le plus brillant et le plus mystérieux. Personne n’avait jamais vu ou il habitait. Personne ne l’avait jamais vu avec une fille, ou un homme pour ce que ça valait non plus. Non personne ne l’avait vu avec quiconque en dehors d’eux. Tout le monde le voyait sans cesse se débattre avec ces idées et ranger ses pensées dans des cases, mais personne ne savait réellement ce qui se tramait dans ces boites.

Jusqu’à ce que. De toute façon toute histoire se déroule paisiblement, suivant une logique imparable, jusqu’à ce que. Jusqu’à ce que l’équilibre se rompe. 13 Janvier, son anniversaire, bientôt la fin du premier semestre de sa troisième année. Certain de ses amis étaient presque aussi brillant que lui, et se préparait à être de très bon profiler. Ainsi, avec un peu de bonne volonté, ils avaient pu trouver son adresse. Ils s’y étaient rendu tôt, avec la total, de quoi rendre une journée mémorable et faire glisser Adolf dans les affres de l’alcool une bonne fois pour toute. Ils avaient sonné, personne n’avait répondu, la maison avait l’air morte de toute façon, aucune lumière en façade, des herbes folles qui dévoraient la pelouse. L’un d’entre eux poussa la porte qui s’ouvrit toute seule. Ils se jettèrent des regards discret, hésièrent à rentrer. La maison avaient l’air vide, presque hantée, le mystère les excitait, ils avaient le sentiment d’être sur une scène de crime. La maison soufflait un air froid et mort, la télé tournait en l’air, un lecteur de vinyle s’essoufflait à vibrer dans le vide et un fauteuil était tourné vers la lumière blafarde de l’aube qui filtrait à travers les voiles poussiéreux. L’un deux s’approcha et trouva Lars immobile, la bouche légèrement entrouverte, les yeux ouvert perdu dans le vide. Il fit un pas de recul, étouffa un cris. Il poussa le corps qui ne réagit pas.

« Merde. »

Les autres arrivèrent et observèrent à moitié fasciné, à moitié terrifié le corps visiblement inerte du père. Ils restèrent silencieux, glacé, et perdu. Ils avaient l’air stupide avec leurs bouteilles et leur attirail de soirée dans ce décors macabre.

« Mort ? » demanda l’un finalement.
« Surement » répondit un autre.

Ils ne vérifièrent pas. Ils n’étaient pas des scientifiques, ils parlaient de chose morbide, de comportement compulsif, étrange et dérangé, mais ils ne touchaient pas la mort. Ils continuèrent la visite, une cuisine dans un état déplorable, qui empestait les relans de café et de cigarette froide, une salle de bain qui pourrissait d’humidité, une chambre comme inhabitée et une porte close. Ils restèrent con un instant devant la porte. Ils discutèrent un moment, dans un silence presque morbide, on entendait rien, mais on voyait leurs lèvres bouger, leurs mains s’agiter. Et puis l’un d’entre eux poussa la porte et ils s’arrêtèrent net, immobile et silencieux, incapable d’en croire leur yeux. Il était là, Adolf, immobile et rigide, au milieu de ses fils tendus, à ranger dans le vide des pensées muettes.


« Adolf ? »

Une voix s’éleva parmi le groupe stupéfait. Adolf se retourna naturellement, resta interdit.

« Qu’est-ce que vous faite là ? »

Il n’était nullement gêné, ou même embarrassé. Ses fils étaient sa normalité, c’est le reste qui n’était pas commun, qui était mal foutu, qui était morbide.  

« C’est ton anniversaire. »

Ah, oui. Adolf s’étira un instant avant de s’avancer souplement à travers son tableau en trois dimension. Il les toucha à peine les fils, il devait avoir l’habitude.

« Ton père, il est… »
« Mort ? Non. Il bougera demain, ou après demain, lorsqu’il en ressentira le besoin. »

Il était arrivé près d’eux, les mains dans les poches, l’air naturel et presque joviale. Il attrapa une bouteille et porta le goulot à ses lèvres.


« Donc on disait Joyeux Anniversaire. »

Souffla-t-il avant d’avancer dans le salon et de sortir de chez lui, suivit rapidement de ses amis encore un peu sonnés.

« Ca fait combien de temps que tu es debout ? »
demande l’un d’eux, poliment.
« 36 heures. »

Il but une autre gorgée, encouragea les autres à faire de même. Les lèvres se pincèrent un peu d’angoisse, et finalement l’euphorie stressante d’Adolf finit par être communicative. Le lendemain les souvenirs de la soirée restèrent flou. Il résida tout de même un malaise. Un malaise dans la certitude. La certitude d’avoir vu la mort et la folie cohabiter dans une même maison, dans une alliance malsaine.


BREATHE ME


Il avait finit sa licence en majorant sa promotion. C’était attendu, prévisible. Ca n’avait surpris personne. Et on avait commencé à chuchoter dans son dos. Peut être un peu de jalousie. Et puis cet épisode chaotique et malsain qui revenait légèrement teinter certaines mémoires. Rien de bien précis, mais cette sensation de folie douce. Quelqu’un avait trouvé une argumentation solide à offrir à un professeur, et on lui avait fermé la porte de la psychanalyse. Il ne deviendrait jamais psychiatre. Il avait regardé son professeur le regard vide, et blasé.

« Je suis inscrit depuis Avril en criminologie. »

La bouche du professeur c’était ouverte distraitement en un fin O qui ne sortirait pas de sa bouche. Bien. Tant mieux. Ca lui irait très bien. Adolf, il avait les nerfs pour ça visiblement. Il avait hoché la tête, et il était sortit. Il s’était enfermé chez lui pour le reste de l’été, à dessiner des lignes, à tracer des fils, à essayer de comprendre. Mais l’essentiel, il ne le comprenait pas. Pourquoi la tuer elle ? Ange de perfection ?

En criminologie il avait à nouveau découvert un nouveau genre de perché. Cela n’avait rien à voir avec les profils qui peuplaient les couloirs du département de psychanalyse. On y récitait pas Freud à toutes les sauces, on ne te scrutait pas pour essayer de deviner ton complexe d’oedipe - celui d’Adolf était d’ailleurs assez simple à deviner, même s’il s’était soldé par la mort de sa mère. Cet incident n’avait fait que l’enterrer plus profondément pour le laisser irrésolu et intouchable. On y était légèrement plus réservé et plus suspicieux. C’était le sociopathe, le psychopathe et l’étrange que l’on cherchait à trouver en chacun. Entre les cours on pariait sur ceux dont les nerfs lâcheraient avant la fin du master, sur ceux qui de criminologue deviendraient des criminels… C’était malsain comme humour, caustique et un peu dégénéré. L’humour juif d’Adolf, s’y mêlait très bien.

Naturellement il avait fait son mémoire sur les criminels Nazi, et sur le mouvement néo-nazi, il avait obtenu les félicitations du jury et avait encore une fois majoré sa promotion avant de se voir offrir une place de chargé de TD et d’assistant chercheur à la rentrée suivante.

C’était là qu’il l’avait rencontrée, Agnes. Deux syllabes pour tant de maux. Agnes était splendide. Poupée de cire, poupée de plomb, c’était surement la première chose qui était venue à l’esprit d’Adolf. Agnes était un cas pratique. Enfin c’était ainsi que les professeurs l’avait présentée. Elle était venue, et elle avait parlé, pendant trois heures, d’une histoire, son histoire à priori. Les trois heures avaient été aussi longue que passionnante. La souffrance coulait dans sa voix, les détails qu’elle donnait l’écorchaient vives et lui arrachaient des minutes de silence. Elle était magnifique dans cette fragilité. Elle avait l’air candide et généreuse, devant nous tous, bestioles assoiffés de détail et d’horreur, elle était élevée en martyr. Elle était la jumelle et l’antithèse de Siobhan. Elle s’était ancrée en Adolf ainsi, en trois heures de conférence, et il était tombé amoureux. Elle ne l’avait jamais vu. Ils ne s’étaient jamais parlé. Il ne lui avait jamais dit. C’était resté comme ça, un fantasme cérébrale qui se nourrissait de ses mots. Il avait été le premier à résoudre son affaire. Il avait tendu son résumé au professeur, il l’avait tendu à Agnes, elle s’était mise à pleurer doucement, elle s’était essuyé les larmes, et elle avait sourit en hochant la tête. Adolf n’avait pas compris pourquoi le professeur lui avait ainsi montrer le résumé. Il n’était pas le meilleur en relation sociale, mais ses années d’étude en psychanalyse lui avait vaguement appris  à traiter correctement un autre être humain, un patient. Il savait prendre des pincettes. Ce qu’avait fait le professeur était cruel. Mais deux semaines plus tard, Agnes était revenue dans la salle, et pendant trois heures elle avait énoncé une autre histoire, avec autant de concentration, autant de douleur, autant de détail, et autant de modulation. Elle se ressemblait à peine, dans l’esprit, son visage néanmoins était le même. Incompréhensible. Adolf n’avait pas rendu de solution à ce problème. Il avait passé les heures suivante à comprendre le problème d’Agnes. Celui qui faisait qu’elle venait là, et qu’elle racontait des histoires comme la sienne, des histoires … qui ne lui appartenait pas il supposait. Et perdu dans des sentiments qu’il n’avait jamais appris à gérer, dans le souvenir de sa mère dont il n’arrivait pas à se débarrasser, il avait mis toute la fin du cours à comprendre… Agnes était une actrice. Peut être même une actrice de pacotille, de rien du tout, qui ne trouvait pas de boulot, rien du tout, et qui n’avait rien trouvé de mieux que de venir jouer des cas pratiques. Il l’avait haït pendant des semaines, au fur à mesure des nouvelles histoires qu’elle racontait et qu’il résolvait en premier avec une attitude tendue et méprisante. Et puis dans le noir de sa chambre, au creux des fils et des obsessions, il découvrait le fantasme étouffant, et sur son corps il entendait les accents délicieux de sa voix effrayée et fragile. Il modelait de la haine et de l’amour un fantasme unique qui le consumait fébrilement et qui l’éloignait toujours un peu plus des autres. Le matin il se réveillait dans une douche froide, il reprenait possession de ses esprits, se lavait du fantasme, et retournait en cours.

Il avait fallu qu’un jour il voit l’anneau doré qui brillait faiblement à son doigt pour que l’image implose dans son cerveau. Mariée. Il n’avait jamais cherché à lui donner un nom de famille, ou même un âge. Il l’avait en deux années de master élevé au panthéon de ses femmes idolâtrées, entre paradis et enfer. Mariée, elle était femme, femme humaine, simplement. Douloureux réveil. Il ne lui avait jamais parlé.


FORGIVE ME FATHER FOR I HAVE SIN


Deux ans. Dans une vie ce n’est pas grand chose, et là ça avait clairement un goût de trop peu. C’était le temps qu’il avait passé à l’université de Stockholm à jongler entre sa thèse et les cours qu’il donnait. Et étrangement si jusque là il n’avait pas été excellent en relation sociale, ce nouveau statut le révélait sous son meilleur jour. Brillant, drôle, et surtout très pointu dans sa manière, il parlait de son sujet de prédilection avec un talent certain. Bien sûr il n’était rien de plus qu’un chargé de TD, et il était seulement là pour aiguiller de petit groupe, mais il en était sur, il serait un grand professeur qui dirigerait facilement de grand amphithéâtre. Son maître de thèse avait toute confiance en lui là dessus. Avec ça, malgré son jeune âge il commençait à être demandé par certain flic du coin sur certaines affaires. Le plus souvent il s’agissait de Göran Falk, un inspecteur un peu plus âgé que lui mais lui aussi relativement jeune pour son poste et surtout extrêmement doué. Leurs deux cerveaux maniaques et obsédés par leur travail et par le crime c’était facilement rejoins, et Göran avait facilement pardonné à Adolf toutes ses bizarreries tant le blond pouvait être doué dans ce qu’il faisait. Il n’y en avait pas deux comme lui pour se glisser dans la peau des pires connards de Stockholm, parfois il fallait même avoué que s’en était presque flippant, mais dès que l’homme était arrêté, Adolf avait ce sourire discret et calme, doucement fier de lui, qui le rendait tout à fait normal. Les choses avaient tournées au vinaigre pour Göran bien avant qu’elle ne le fasse pour Adolf, il avait du s’en aller du jour au lendemain, à des heures de Stockholm, dans un trou pommé, ou il serait inspecteur. Ca ou rien. Adolf comprenait, il aurait fait la même chose. Ca était toujours mieux que rien. Même dans les trou pommé il y avait des détraqués, parfois même plus qu’ailleurs. Peut être qu’il s’y ferait. Peut être qu’il se ferait juste un peu oublier à Stockholm et qu’il reviendrait dans le coin. C’était surement le plan à la base. Enfin c’est ce qu’ils avaient du penser. Mais c’était sans compter l’inaptitude d’Adolf à gérer ses relations avec la gente féminine. Il était pourtant doué en psychanalyse et comprenait assez facilement le genre humain, et pourtant lorsqu’il s’agissait de gérer ses relations avec eux, c’était un véritable enfer. Avec elle, Sara, il s’était planté sur toute la ligne. Sara était une de ses étudiantes. Il avait pris de l’avance au lycée, il était jeune, très jeune, même pour un chargé de TD. Il n’empêchait pas qu’il savait tenir ses distances, et que de toute façon aucune fille, ou aucun garçon ne pouvait se vanter d’avoir eu les faveurs d’Adolf un jour. La seule fille qu’il avait aimé ne l’ayant jamais su. Mais Sara était différente, obsessionnelle, sans aucun doute, mais dans le milieu qui ne l’était pas. Elle s’était mise en tête de l’avoir lui, et lui ne cédait pas. D’abord parce que c’était interdit, et ensuite parce qu’il n’en avait pas particulièrement envie, le souvenir qu’avait laissé Agnes dans son esprit était encore trop présent pour ne pas être pris en compte. Elle n’avait pas lâché l’affaire, et devant des refus elle avait fait ce qu’elle avait cru le plus malin de faire, elle avait mentit. Elle l’avait crié sur tous les toits, avait raconté une aventure brûlante. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle avait le même talent qu’Agnes pour raconter des histoires et y ajouter nombre de détails. Adolf avait été mis en accusation, sa parole contre la sienne, et pour se défendre il aurait fallu avouer la vérité. La vérité qu’il ne risquait pas d’avoir couché avec elle, puisqu’il n’avait jamais couché avec personne. Mais sa sexualité était quelque chose dont il ne parlait et pas et semblait être un tabou qu’il trainait sur son dos comme le plus lourd des fardeaux. Alors il s’était tu, et il avait observé muet l’action se dérouler. Il avait fermé les yeux, n’avait même pas voulu regarder Sara qui racontait encore une fois une série de mensonge parfois plus choquant que séduisant et puis il fut mis au banc. On lui demanda de prendre du recul sur la vie de professeur, et d’aller finir sa thèse ailleurs. Ailleurs c’était un jolie mot pour dire loin d’ici.

Et le voilà qui se retrouvait, trop jeune pour le dire, avec une thèse non finie sur les bras, un paquet de mystère non résolu, une chambre pleine de fils tendus et une demande expresse d’aller ailleurs. Fatigué de l’esprit humain, il choisit d’aller rejoindre Göran qui lui décrivait depuis un peu plus d’un an l’étrange bourgade dans laquelle il était arrivé et ou il se passait des choses plus qu’étrange. Il replia sa chambre et laissa définitivement son père à son triste sort avant de mettre les voiles pour Dodskälle. C’était il y a bientôt sept ans. Il connaissait la légende, il connaissait tout d’elle, et il en riait bien, parfois jusqu’à tard le soir avec Göran à se demander qui pouvait bien croire à ses superstitions. Mais le fait est qu’en sept ans ils n’avaient pas progressé, ils avaient bu, ils avaient fumés, mais ils n’avaient pas trouvé grand chose. Les habitants n’aimaient pas parler de leur soit disant « rêve » et Adolf était même sûr que Göran avait mis plusieurs semaines avant de lui raconter le sien. Pendant un instant il avait cru que son ami avait cédé à la superstition. Mais ils l’attraperaient. N’était-ce pas ce qu’ils avaient toujours fait ? Et ce n’était pas parce qu’ils avaient été mis au banc de la société, dans un village des plus morbides qu’ils allaient échouer. Et puis il fallait avouer que dans cette ambiance sombre et froide Adolf se sentait finalement comme chez lui. Il se satisfaisait de peu, et appréciait volontiers les relans d’horreur qui s’échappait parfois des vieilles masures toujours close.

Mais presque sept ans, c’était long, et Adolf avait vieillit. Il n’en avait pas eu l’impression pourtant, il se souvenait encore comme hier de ses quelques cours donné dans de petite salle de classe. Il se souvenait des discussions passionnés avec certain élève qui avait probablement le même âge que lui. Il se souvenait de ce sentiment, celui de puissance, et celui d’appartenance. Cette fois, cette seule fois, il avait vraiment appartenu à quelque chose de vrai. Et en presque sept ans, il aurait pu faire le deuil. Il avait fait le deuil de Stockholm, de la capitale maritime, il n’avait pas fait le deuil de son ancien job. Il était comme figé dans ses vingts ans à mesure même qu’il approchait de la trentaine. Naturellement il n’avait guère donné plus d’importance à ces amours, ici, il disait quand il parvenait à ne pas rougir à Göran que l’on devait avoir l’impression de baiser un fantôme. Et il savait ce que c’était de baiser un fantôme, plus ou moins, il avait baisé pendant deux ans avec une idée, ce n’était pas mieux. Enfin bien sûr ces discussions se déroulaient seulement dans sa tête, il gardait toujours sur cet aspect de sa vie un sceaux si lourd que personne ne pourrait véritablement oser le soulever.  



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Noah Diesbach
Noah Diesbach

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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptySam 16 Aoû - 9:55

hehe hehe hehe hehe hehe 
Les deux terreurs ah si tu savais...
Officiellement bienvenue sur le forum, si tu as des questions n'hésite pas et bon courage pour le reste de ta fiche  hero1 chef 
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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptySam 16 Aoû - 10:48

Bienvenue face

Accessoirement j'aime beaucoup ton avatar, et ensuite le caractère de ton perso est bien fun hihi
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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptySam 16 Aoû - 10:58

gaah heart1 
Tu sais que la suite arrivera bientôt  hihi 

Elsa merci beaucoup  hug2 
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Sanja Nordenskiöld
Sanja Nordenskiöld

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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptySam 16 Aoû - 11:13

Saluuuuuuuuuuuuuuuuuuuut beau gosse!

Bienvenue parmi nous, et au plaisir de te croiser! ;-)
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Timothy L. Carrington
Timothy L. Carrington

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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptySam 16 Aoû - 11:47

hug7 hug7 
Non mais Dane...... Dane.... *bave partout*  gaah 

 siffle siffle siffle siffle 
Spoiler:

et voilà, j'ai envie de jouer Dan moi maintenant cache

J'aime beaucoup le début de ta fiche, j'ai hâte de lire tout le reste! Je comprends mieux le prénom maintenant  eyebrow 

Si tu as la moindre question tu sais où nous trouver de toute façon  smack 

DONC BIENVENUE PARMI NOUUUUUUUUUS  ordi heart2
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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptySam 16 Aoû - 21:11

Merci Sanja, t'es pas mal non plus brille

BIQUET  heart1 c'est odieux comme surnom  pumpitup 
HAN DAN, DON'T DO THIS TO ME - tu as vu comme en faite je cris l'inverse ? roll  whistle 

Bref, j'ai fini en brave gars siffle  heart3 chef ordi 
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Le Maire
Le Maire

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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptyDim 17 Aoû - 1:58

Bonjour/bonsoir,
(tout dépendra de l'heure à laquelle tu liras ce message ^^)

Après lecture de ta fiche, je ne peux malheureusement pas te valider. Je m'explique, ta fiche comporte de nombreuses fautes en tout genre, que ce soit d'inattention ou de conjugaison, je pense qu'une bonne relecture est nécessaire afin que tu puisses nous rejoindre en RP.

Pour ce qui est du reste, le contexte et l'atmosphère de la ville ont été bien comprises et je suis ravie de constater que Göran entraîne quelqu'un d'autre dans sa paranoia face

Quoi qu'il en soit, une fois les modifications réalisées, n'oublie pas de le signaler dans le même sujet que celui des fiches terminées.

Pour toute autre précision ou question, le staff du forum reste disponible.
 heart1
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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptyDim 17 Aoû - 4:11

Bah pour une fois que j'avais même une pote qui m'a relue et corrigée. J'ai du vraiment aller trop vite sur la fin, contrairement à Adolf j'ai pas les connections neuronales qu'il faut roll
Je relierais demain, les insomnies c'est pas bon pour l'orthographe.
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Le Maire
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MessageSujet: Re: L'avenir c'était mieux avant - Adolf   L'avenir c'était mieux avant - Adolf EmptyDim 17 Aoû - 18:04

lejd våldsman
❝ félicitations, tu es officiellement validé(e) ❞


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Bravo à toi, te voilà très officiellement validé. Tu fais maintenant partie de la vénérable troupe des Dödskalliens et tu as gagné le droit de venir errer avec nous dans cette charmante ville suédoise !


Avant de commencer, pense bien à faire toutes les choses importantes :

- recense ton avatar [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].
- si ton personnage a déjà fait son rêve, merci de nous signaler les circonstances de sa mort [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].
- pour demander un logement, [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et pour recenser ton métier [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].
- pour les fiches de liens (qui sont facultatives) ou les demandes de liens, c'est [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].
- pour demander des RPs ou faire un récapitulatif de tes sujets en cours, [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].
- dans tous les cas, pense bien à compléter ta fiche de personnage qui se trouve sous ton avatar et que tu peux générer directement depuis ton profil.
- pour en savoir plus sur le système de points mis en place sur le forum, [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].
- n'oublie pas non plus qu'il faudra recenser ton personnage tous les mois !


En attendant, toute l'équipe administrative de YODO te souhaite la bienvenue et te souhaite de passer d'agréables moments par ici. Après tout, les rues de Dödskalle sont réputées pour être calmes, pas vrai ?...

© Crédits : coccy, Moose, eden, JEKYLL&HYDE.
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L'avenir c'était mieux avant - Adolf

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